Titre : L’ensorceleuse
Edition : Gallimard
Pages : 455
En Gitabrie, l’invention d’un petit oiseau mécanique a attiré les espions de tous les territoires. Chacun est prêt à tuer pour mettre la main sur ce prodige animé par une magie puissante et dangereuse. Et c’est justement là que se dirigent Kelen, Rakis et Furia, les vagabonds les plus recherchés du continent.
J’avais adoré le deuxième tome de la saga, lu, il n’y a pas très longtemps. Donc j’étais contente de retrouver l’univers de L‘anti-magicien. Et quelle déception, j’ai été tellement déçue de ce troisième tome, j’ai eu du mal à le finir.
Ce tome aurait pu être vraiment intéressant, mais je ne comprends pas pourquoi l’auteur à choisi de le traiter aussi lentement. Parce que clairement, son plus gros défaut, c’est d’être extrêmement long pour rien. Et c’est vraiment dommage, parce qu’il y avait un énorme potentiel. J’adore l’univers de cette saga, il est tellement riche et pleins de possibilités.
j‘ai trouvé que les personnages étaient assez insupportables dans cette suite, alors que je pensais m’être faite au caractère de Kelen, et des autres personnages, mais j’ai vraiment du mal avec le personnage principal dans ce tome. Il est tout bonnement insupportable. Finalement, le personnage qui sauve le tout, c’est Furia et on sent clairement qu’elle passe au dernier plan, niveau importance de son personnage.
Je vais lire le quatrième tome parce qu’il est dans ma PAL, et que je ne veux pas rester sur une mauvaise impression. D’autant plus que le résumé est très intéressant et il promet une aventure plus passionnante que celle de ce tome, donc affaire à suivre, mais j’espère ne pas être déçu comme ça a été le cas par ce tome.