The mortal instruments : Renaissance, tome 3 : La reine de l’air et des ombres, partie 1 de Cassandra Clare

Titre : La reine de l’air et de l’ombre, partie 1
Edition : PKJ
Pages : 448

Le Monde Obscur est en danger, le sang a coulé sur les marches sacrées de la salle du Conseil. Depuis la mort de Livia Blackthorn, l’Enclave est au bord de la guerre civile. Et tandis qu’un mal étrange éradique peu à peu la race des sorciers, Emma et Julian se voient assigner la mission de récupérer le dangereux Livre Noir. Le fléau des parabatai risquant de les détruire, les deux amants sont obligés de mettre leur amour interdit en sourdine. Entre sombres secrets et malédiction, c’est la survie des Chasseurs d’Ombres qui est en jeu.

---

---

Je suis contente de mettre « forcer » à finir le tome 2 de TMI Renaissance, parce que comme je te l’ai dit dans ma chronique, j’ai beaucoup aimé la fin et parce que j’ai lu peu de temps après la première partie du tome 3 et que je l’ai beaucoup aimé aussi. 

Cette trilogie met en avant le racisme, pas comme on a l’habitude de le voir, entre les personnes de différentes couleurs, mais cette fois entre les différentes créatures qui peuplent l’univers des Shadowhunters et je trouve que l’autrice l’amène vraiment bien. Les réflexions sur le sujet sont très intéressantes. 

Dans ce troisième tome, clairement ça ne sent pas bons pour nos héros, nouveaux comme anciens. Il semblerait que Cassandra Clare adore les mettre dans des situations tellement désespérées qu’il y a peu de chances qu’ils s’en sortent indemnes. Je ne m’en plains pas, loin de là, je crois que c’est une des choses que je préfère dans cette saga. Avant de reprendre ma lecture du second tome, je ne me rendais pas compte à quel point, l’univers de TMI me manquait. Du coup, j’ai deux livres d’avances sur les parutions en cours avant de venir à manquer de lecture de ce côté-là. 

Comme tu le sais, Emma et Julian ne sont pas du tout mes personnages préférés, mais je commence à les apprécier un peu plus dans ce début de tome trois. Je t’avoue que ça me fait bizarre de te faire une chronique sur une première partie de tome. OK, il aurait sûrement été très gros, en un seul morceau, mais ce n’est pas comme si on n’avait pas l’habitude depuis les tomes 5 et 6 de la série principale. J’aurais vraiment préféré avoir ce troisième tome en un seul morceau parce que je n’aime pas la manière dont ça m’a brusquement coupé dans ma lecture. Donc, du côté des personnages, je commence à tous les aimer, même si pour le coup, j’ai eu moins de temps pour me faire à eux qu’aux personnages de la série principale. 

Ça me fait penser qu’il y a quelques livres de l’univers de TMI qui ne sont pas sortie en France, comme le recueil d’histoires sur l’apprentissage de Simon, ou encore les chroniques de Bane (elles n’existent qu’au format numérique.) et je trouve ça vraiment dommage parce que ça reste des histoires dans le même univers et j’aurais aimé les mettre avec le reste de ma collection VF. 

J’ai hâte de lire la seconde partie de ce troisième tome, pour connaître la conclusion de cette trilogie et pouvoir t’en parler. Je sens que Cassandra Clare va encore me faire beaucoup de mal. Et j’espère surtout qu’elle va écrire quelque chose sur les plus jeunes personnages de Renaissance.